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I. Parutions récentes II. Catalogue général III. Publications périodiques

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I
Parutions récentes
(depuis 1991)

563. Annuaire-Bulletin 2018. > sommaire

2023. In-8°, XII-126 p. 978-2-35407-155-4 (issn 0399-1350) — 35 €

562. Mémoires de Jean de Haynin. Publiés par Françoise Vielliard, avec la collab. de Marc H. Smith, d’après les notes de Catherine Bébéar†, introd. de Henri Dubois†

2023. In-8°, CLXXVII-491 p., br. 978-2-35407-154-7 — 80 €

Jean de Haynin, issu de la petite noblesse du Hainaut, est né le 16 octobre 1423, trois mois après Louis XI et dix ans avant Charles le Téméraire. Il a participé à plusieurs campagnes, en France et contre Liège, dans l’armée du duc de Bourgogne, et a rédigé du 20 mai 1466 au 5 avril 1477 son « livre », interrompu par la mort du Téméraire et l’effondrement des ambitions bourguignonnes.
Le texte, qui a reçu de ses premiers éditeurs le titre de Mémoires, relate les événements de 1465 à 1477. Il est construit autour de souvenirs personnels, auxquels l’auteur ajoute des extraits de récits historiques, des chansons et autres pièces en vers ainsi que des copies d’actes et de lettres, sans oublier sa généalogie détaillée.
Une première édition, très partielle, en a été donnée en 1842 d’après une copie postérieure ; une seconde, en 1905-1906, faite d’après le manuscrit original, était lacunaire et souvent fautive. La Société de l’Histoire de France livre aujourd’hui la première édition complète, accompagnée d’une ample introduction historique et d’une analyse philologique indispensable pour éclairer le texte : la genèse complexe et l’histoire postérieure du manuscrit, les sources et récits parallèles, le dialecte et le système graphique parfois déroutants de l’auteur. Vient enfin un volumineux index, identifiant en détail plus de deux mille personnes et lieux.

561. Annuaire-Bulletin 2017. > sommaire

2022. In-8°, XII-129 p. 978-2-35407-153-0 (issn 0399-1350) — 35 €

560. Annuaire-Bulletin 2016. > sommaire

2021. In-8°, XII-183 p. 978-2-35407-152-3 (issn 0399-1350) — 35 €

559. La Chronique de GEOFFROI DE BREUIL, prieur de Vigeois. Publiée par Pierre Botineau et Jean-Loup Lemaitre. Avec une traduction de Bernadette Barrière† et al.

2021. In-8°, XCIV-372 p., br. 978-2-35407-151-6 — 89 €

La chronique de Geoffroi de Breuil (?-1185), prieur de Vigeois au diocèse de Limoges, est une des principales chroniques limousines, très souvent utilisée ou citée par les historiens du Limousin certes, mais aussi des XIe et XIIe siècles, pour tout ce qu'elle apporte sur l'histoire de la société et des moeurs de son temps, même si le témoignage de Geoffroi est parfois partiel ou partial, mais c'était un observateur critique des affaires de son époque. Moine bénédictin, il s'intéresse tout particulièrement à la pratique religieuse, mais aussi aux grandes familles seigneuriales, à leurs rivalités et leurs querelles. Il est ainsi un témoin exceptionnel de la guerre entre Henri II Plantagenet et son fils Henri le Jeune dans les années 1182-1183, qui occupe en grande partie le livre II.
Le manuscrit original, qui est mentionné dans les plus anciens inventaires de la bibliothèque de Saint-Martial de Limoges, au XIIIe siècle, est perdu depuis longtemps, mais le texte a fait l'objet de plusieurs copies au XVIIe siècle et a été publié en 1657 par le jésuite Philippe Labbe au tome II de sa Nova Bibliotheca. L'édition du livre I avait fait l'objet de la thèse d'Ecole des chartes de Pierre Botineau en 1964 et sa traduction entreprise à la fin des années 1990 par Bernadette Barrière et ses étudiants de l'université de Limoges, qui ont souhaité mener à son terme ce projet et en particulier procéder à la révision de la traduction et à l'uniformisation des notes.

558. Les Œconomies royales de SULLY. Tome IV : 1602-1603. Publiées par Bernard Barbiche et David Buisseret.

2020. In-8°, XXI-358 p., br. 978-2-35407-150-9 — 75 €

Le tome IV des Œconomies royales couvre les années 1602 et 1603, dominées par deux événements marquants : en 1602, la conspiration, l’arrestation et l’exécution du maréchal de Biron ; et en 1603 l’ambassade solennelle du marquis de Rosny à Londres à la suite de l’avènement de Jacques Ier (Jacques VI d’Écosse) au trône d’Angleterre.
Plus encore que dans les trois volumes précédents, Maximilien de Béthune a profondément remanié la première version de ses Mémoires, conservée au Cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France, pour mettre son rôle en valeur aux côtés de Henri IV. Le présent volume permet une comparaison précise entre la rédaction primitive et l’édition originale de 1638, plusieurs fois reproduite telle quelle et seule utilisée jusqu’à présent par les historiens, sans discernement critique. Ainsi sont mis en lumière les traits fondamentaux de la personnalité de Sully : son ambition, son ego exacerbé, son incommensurable vanité, sa volonté d’imposer pour la postérité l’image qu’il voulait donner de sa vie et de son œuvre.

557. Annuaire-Bulletin 2015. > sommaire

2018. In-8°, XII-268 p. 978-2-35407-149-3 (issn 0399-1350) — 39 €

556. Lettres de HENRI III, roi de France. Tome VIII : 1er janvier 1588-1er août 1589. Supplément général. Recueillies par Pierre Champion et Michel François, publiées par Jacqueline Boucher.

2018. In-8°, XXIIII-481 p., br. 978-2-35407-148-6 — 80 €

Plus de 800 lettres conservées couvrent les derniers dix-huit mois du règne de Henri III, l’une des périodes les plus tragiques de l’histoire de France. La huitième guerre de Religion s’étendait à tout le royaume, le souverain était chassé de Paris, l’État s’effondrait. L’exécution des Guise fut alors un coup de théâtre, suivi d’une volée de lettres où le roi n’invoquait ni la justice ni la vengeance, mais la légitime défense et la nécessité d’État.
     Ses derniers mois virent des changements prodigieux : renvoi de l’équipe ministérielle pour former un entourage d’anti-ligueurs ouverts à la semi-tolérance de fait ; réconciliation avec le roi de Navarre, alors que le problème de la succession avait envenimé les conflits depuis une décennie ; enfin mise en campagne de la plus forte armée qu’il eût jamais commandée, malgré l’épuisement des finances, par l’appel à la noblesse et par la persuasion diplomatique auprès des Suisses et du grand-duc de Toscane. En 1589, lorsque Jacques Clément lui ôta la vie, Henri III n’avait jamais été aussi près de redresser l’État. Son principal échec, malgré l’attachement au catholicisme que manifestent ses lettres officielles et intimes, jusqu’à la dernière, est à chercher dans les relations avec le Saint-Siège, qui ne pardonna ni l’exécution d’un cardinal ni l’ouverture aux réformés.
     Les lettres les plus familières montrent enfin une personnalité sentimentale, rare au XVIe siècle. Le dernier Valois, incompris de ses contemporains, a prêté le flanc à la propagande contre son caractère et ses actions. C’est ce qui a rendu possible son assassinat et a brouillé son souvenir jusqu’à nos jours.
     A cet ensemble s’ajoutent plus de 300 missives complétant les précédents volumes ou de date incertaine, portant le total de l’édition à plus de 8 400 lettres..

555. Annuaire-Bulletin 2014. > sommaire

2018. In-8°, XII-199 p. 978-2-35407-147-9 (issn 0399-1350) — 39 €

554. Registre delphinal, par MATHIEU THOMASSIN. Publié par Kathleen Daly avec la collaboration de Gillette Labory.

2018. In-8°, 390 p., br. 978-2-35407-146-2 — 79 €

Commandé par le dauphin Louis II (le futur roi Louis XI) à Mathieu Thomassin en 1456, le Registre delphinal porte les fruits de la longue carrière d’un officier dauphinois dans une période agitée par la guerre civile, l’invasion anglaise et le redressement de la monarchie française. Thomassin se concentre sur les questions les plus brûlantes : le statut du Dauphiné par rapport à l’Empire et à la Couronne de France ; les affrontements entre dauphins, prélats comme les archevêques de Vienne, et princes tel que les comtes puis ducs de Savoie ; enfin la mission de Jeanne d’Arc. Il place le tout dans une perspective historique qui souligne les liens entre le Dauphiné et la France, et qui suggère qu’au moment de la rupture définitive entre le roi et le dauphin, Thomassin et ses collègues cherchaient à justifier leur adhésion à Charles VII plutôt qu’à son fils Louis.
Le texte est établi d’après l’un des trésors de la bibliothèque municipale de Grenoble, ms. U909 (Rés.). S’y ajoutent des extraits du Breviere des anciens droys, honneurs et prerogatives du Daulphiné de Viennoys par le même auteur, qui aident à comprendre l’évolution de sa pensée politique et historique. L’introduction examine la carrière, les ouvrages et la pensée de Mathieu Thomassin comme historien et serviteur des dauphins. Le Registre delphinal intéressera tous les historiens de la culture, de l'historiographie, de la politique et de l'administration à la fin du Moyen Âge.

553. Correspondance du cardinal Jean DU BELLAY. Tome VII : 1555-1559. Index 1547-1559. Publiée par Rémy Scheurer, Loris Petris, David Amherdt et Nathalie Guillod-Falconet, avec la collab. de Ruth Stawarz-Luginbühl.

2017. In-8°, X-574 p., br. 978-2-35407-145-5 — 60 €
Offre spéciale, tomes I à VII : 249 € la correspondance complète (au lieu de 309,90 €)

Commencée au début du XXe siècle par Victor-Louis Bourrilly et Pierre de Vaissière pour les Archives de l’histoire religieuse de la France, reprise sous l’égide de la Société de l’Histoire de France entre 1969 et 1973 puis à partir de 2008 sous la direction de Rémy Scheurer et Loris Petris, grâce à l’appui du Fonds national suisse de la recherche scientifique, la publication de la Correspondance du cardinal Jean du Bellay atteint son terme avec trois cent quinze lettres des années 1555-1559, ainsi que vingt-huit addenda et sept autres textes de Jean du Bellay.
Aux tables du volume s’ajoutent des annexes générales pour les règnes de Henri II et de François II (et d’autres additions pour celui de François Ier) : la liste des ouvrages dédiés au cardinal, l’index des personnes et des lieux pour l’ensemble des tomes IV à VII ; enfin l’état des sources manuscrites et imprimées de l’ensemble de la correspondance.
Au total, ce sont quelque 2 000 lettres et mémoires rédigés entre 1527 et 1559 qui sont désormais à la disposition des chercheurs, éclairant d’un jour nouveau tant les événements politiques et diplomatiques que l’histoire culturelle, artistique et littéraire.

552. Les Œconomies royales de SULLY. Tome III : 1600-1601. Publiées par David Buisseret et Bernard Barbiche.

2017. In-8°, 336 p., br. 978-2-35407-144-8 — 65 €

Quarante-sept ans après le tome Ier, et vingt-neuf ans après le tome II, voici le tome III des Œconomies royales. Rappelons l’objectif de cette nouvelle publication d’un texte qui a déjà fait l’objet de nombreuses éditions depuis celle que Sully lui-même, à la fin de sa vie, a fait imprimer clandestinement dans son château des bords de Loire de 1638 à 1640, sous son contrôle vigilant qu’attestent les annotations, corrections et ajouts de sa main que l’on trouve tout au long du manuscrit.
Tous les historiens ont depuis longtemps constaté et signalé que ces Mémoires étaient avant tout (comme c’est souvent le cas) un plaidoyer pro domo que Sully a fait rédiger par ses secrétaires entre 1610 et 1617, très souvent au mépris de la vérité historique, dans une démarche inspirée par le dépit d’avoir été écarté du pouvoir après l’assassinat de Henri IV. Mais une comparaison entre le manuscrit des Mémoires aujourd’hui conservé à la Bibliothèque nationale de France (mss. français 10305 à 10314) et l’édition de 1638 montre que ce propos de désinformation s’est accentué tout au long des trente années de retraite et de mise à l’écart que le ministre a connues sous Louis XIII.
C’est pourquoi cette édition critique a été entreprise d’après le manuscrit pour faire apparaître clairement les remaniements que le principal conseiller de Henri IV a fait subir à son texte afin de mieux mettre en valeur la personnalité et l’œuvre de son souverain et surtout sa contribution personnelle au redressement de la France au lendemain des premières guerres de Religion. On peut désormais mesurer l’écart qui existe entre la rédaction initiale et la version finale, celle qui a toujours été utilisée par les historiens.

551. Annuaire-Bulletin 2012-2013. > sommaire

2016. In-8°, XV-226 p., br. 978-2-35407-143-1 — 35 €

550. Livre journal de Jean-Baptiste Claude BRAGELONGNE (1719-1775). Publié par Martine Bennini.

2016. In-8°, XLIII-263 p., br. 978-2-35407-142-4 — 65 €

Jean-Baptiste Claude de Bragelongne (1719-1775) nous a laissé un « livre journal » des années 1750-1768, livre de compte mais aussi histoire de sa famille, ou plutôt de sa fortune et de ses alliances, qui constitue un témoignage précieux sur la vie de la noblesse de robe au temps des Lumières.
     Conseiller au parlement de Paris, l’auteur doit à l’héritage de son grand-oncle Jean-Baptiste de Gaumont, intendant des finances immensément riche, son patrimoine et notamment la seigneurie du Saussay près de Corbeil, dont le château tient une grande place dans ses préoccupations : Bragelongne se présente lui-même comme un magistrat peu zélé mais amateur éclairé d’architecture.
     Il n’en participe pas moins aux mouvements d’opposition qui dressent le parlement contre la politique de Louis XV, ce qui lui vaut d’être exilé en Auvergne : la description de cette province occupe dès lors une bonne partie du manuscrit.
     Si les enfants de Bragelongne ne connurent pas le destin prospère auquel les destinait Gramont, la famille a été illustrée par de brillants militaires sous la Révolution française et l’Empire. Le chateau, aujourd’hui encore propriété des Bourbon-Busset, issus de la descendance de Bragelongne par les femmes, constitue comme un conservatoire lignager qui a peu changé depuis le XVIIIe siècle.

549. Annuaire-Bulletin 2011. > sommaire

2016. In-8°, VIII-177 p., br. 978-2-35407-141-7 — 35 €

548. Mémoires du marquis de BOUILLÉ pendant son administration aux Isles du Vent de l'Amérique. Publiés par Philippe Henrat, introd. Philippe Haudrère.

2015. In-8°, XXXVII-566 p., br. 978-2-7018-0433-0 — 85 €

Le marquis de Bouillé, officier général, est un acteur important de la guerre de l’indépendance des Etats-Unis. Nommé au début de l’année 1777 au gouvernement général de la Martinique et autres colonies françaises des îles du Vent, il prépare habilement l’engagement des hostilités, entre autres en montant un réseau d’espions, en accueillant les corsaires américains et en fournissant des armes aux révoltés. L’année suivante, lorsque les Français entrent dans la guerre, Bouillé conduit des opérations victorieuses contre plusieurs colonies et conquêtes des Britanniques, ainsi La Dominique, Tobago, Saint-Christophe et Saint-Eustache. Sous son commandement le port et la rade de Fort-de-France deviennent une base navale importante, permettant d’assurer la poursuite des combats sur la côte atlantique de l’Amérique du Nord jusqu’à la victoire de Yorktown.
De tels succès demandent non seulement des capacités militaires mais aussi de bonnes aptitudes à la gestion administrative et financière dont la conduite est détaillée dans ces Mémoires. L’édition, préparée par l’auteur, a été interrompue par son décès, mais le manuscrit, soigneusement conservé par la famille, est reproduit intégralement dans le présent livre. Il s’agit donc d’une source inédite mais essentielle pour la connaissance de la politique coloniale française au XVIIIe siècle et surtout pour la compréhension des circonstances d’un conflit majeur.

547. Correspondance du cardinal Jean DU BELLAY. Tome VI : 1550-1555. Publiée par Rémy Scheurer, Loris Petris, David Amherdt et Nathalie Guillod.

2015. In-8°, 536 p., br. 978-2-35407-140-0 — 45 €

Offre spéciale, tomes I à VII : 249 € la correspondance complète (au lieu de 309,90 €)

Ce volume compte quelque 340 lettres et mémoires, dont près des trois quarts adressés à une quarantaine de correspondants, surtout le roi Henri II et le connétable Anne de Montmorency. Le soin mis par le secrétaire d’État Jean Duthier à conserver les dépêches d’Italie a permis cette large moisson, malgré l’absence du cardinal de Rome entre 1550 et 1553 et une longue période de maladie qui ont limité temporairement ses envois.
Dès son quatrième séjour à Rome, à partir de 1553, Jean du Bellay est constamment mêlé aux affaires politico-religieuses du pontificat de Jules III. Souvent seul cardinal français présentà Rome et de facto protecteur des affaires de France, il intervient au-delà de l’attribution des bénéfices ecclésiastiques pour défendre les intérêts du roi et s’impliquer dans les relations avec les États italiens, allant jusqu’à offrir ses mules pour ravitailler Sienne assiégée.
À son habitude, il commente les faits, juge les hommes, envisage les éventualités et suggère la voie à suivre. C’est un acteur de l’Histoire que continue de révéler cette correspondance, en même temps qu’un collectionneur passionné d’antiquités et, dans le genre épistolaire, un véritable écrivain.

546. Guerre civile et pardon royal en Anjou (1580-1600). Lettres de pardon entérinées par le présidial d'Angers. Publiées par Michel Nassiet.

2013. In-8°, [LIII]-244 p., br. 978-2-35407-139-4. — 60 €

Faisant suite au recueil de lettres royales de pardon de 1565-1566, le corpus des lettres concernant l'Anjou dans les deux dernières décennies du XVIe siècle est original à plus d'un titre. Portant sur une période que laisse dans l'ombre l'enregistrement interrompu de ces documents par la chancellerie royale, il couvre toute la guerre de la Ligue, et notamment les cinq années où les institutions royales furent transférées à Tours. Il éclaire ainsi la conflictualité en temps de guerre civile, le phénomène de militarisation de la société et l'évolution de la politique du pardon en un temps de pouvoir affaibli.
Fondé sur un registre du présidial d'Angers, il permet aussi de mieux connaître les pratiques de l'entérinement, notamment la proportion des suppliants déboutés et les mesures visant à contrôler le pardon des nobles locaux en les renvoyant devant un parlement. Une autre innovation institutionnelle, un pardon spécifique aux homicides involontaires, témoigne d'une réflexion neuve sur la différence entre homicide et meurtre.
La présentation du contexte local et l'identification des protagonistes permettent d'aller plus avant dans la compréhension des conflits évoqués. Plusieurs lettres, en particulier, jettent un jour nouveau sur des personnages déjà connus des historiens, comme le fameux voyageur Jacques de Villamont ou des femmes ayant mis en œuvre des formes remarquables de charité.

545. Annuaire-Bulletin 2010. > sommaire

2014. In-8°, XII-112 p. 978-2-35407-138-7 — 35 €

544. Correspondance du cardinal Jean DU BELLAY. Tome V : 1549-1550. Publiée par Rémy Scheurer, Loris Petris et David Amherdt, avec la collab. de Nathalie Guillod

2012. In-8°, VIII-402 p. 978-2-35407-137-0 — 45 €

Offre spéciale, tomes I à VII : 249 € la correspondance complète (au lieu de 309,90 €)

Entre le début de 1549 et le départ du cardinal pour la France en juillet 1550, ce volume compte quelque deux cents lettres et mémoires, dont les trois quarts sont adressés à une trentaine de correspondants : principalement Henri II et Anne de Montmorency, dans une moindre mesure Charles de Guise ainsi que des familiers de Jean du Bellay.
Grâce à la bonne conservation de l’ensemble des minutes et de la plus grande partie des lettres destinées au roi et au connétable, c’est le témoignage peu altéré d’un observateur attentif et d’un acteur fort impliqué qui est mis au jour pour la fin du pontificat de Paul III et le début de celui de Jules III. Pour la plupart inédites, ces lettres concernent au premier chef les relations entre la France et le Saint-Siège mais aussi, plus largement, l’ensemble de l’activité diplomatique des puissances représentées à Rome. Elles révèlent les rivalités personnelles entre les agents du roi en Italie ainsi que les appréciations ambiguës que porte Jean du Bellay sur les principaux ministres du roi, voire sur le roi lui-même.
Par endroits, elles laissent aussi paraître, sous le serviteur du roi, l’individu avec ses espoirs et ses désillusions, ses élans et son abattement, notamment lorsqu’il est atteint par la maladie ou menacé par la disgrâce. Qu’elle influence la politique ou dévoile l’intime, la plume de Jean Du Bellay, douée d’évidentes qualités littéraires, témoigne du monde complexe de la Renaissance.

543. Lettres de HENRI III, roi de France. T. VII : 21 mars 1585-31 décembre 1587. Recueillies par Pierre Champion et Michel François, publiées par Jacqueline Boucher.

2012. In-8°, XIX-630 p. 978-2-35407-136-3 — 80 €

Près de mille cinq cents missives de la partie la plus tumultueuse du règne constituent ce septième volume de l'édition. La prise d’armes de la Ligue remit en question tous les espoirs et les efforts du roi. Il dut révoquer les édits permettant l’existence de deux cultes. Il travailla à regagner les mécontents en faisant appel à leur fidélité. Il chercha enfin à apaiser le Saint-Siège pour pouvoir vendre une partie du temporel de l’Église de France et faire face, malgré la détresse financière qui le hante à chaque page, à d’immenses besoins, surtout à l’invasion des reîtres et lansquenets en 1587.
Le succès remporté par Henri III en dispersant ces troupes étonna les contemporains. Ils lui reprochèrent de s’être montré habile plutôt que valeureux comme le duc de Guise, et d’avoir vaincu par la grâce de Dieu, non par son mérite. A Paris, le souverain rentra dans une ville gagnée à la Ligue, agitée par les prédicateurs, et seul le soulèvement de la capitale allait l’empêcher de poursuivre sur sa lancée.
Ces lettres démentent plus que jamais les historiens du XVIIe siècle qui, pour magnifier son successeur, ont campé le dernier Valois en roi fainéant et frivole, luxurieux et corrompu. On trouve ici à l’œuvre, au contraire, un prince d’une exceptionnelle intelligence, parfaitement averti des affaires et toujours résolu à maintenir les institutions et le territoire contre des menaces multiples.

542. Correspondance du cardinal Jean DU BELLAY. Tome IV : 1547-1548. Publiée par Rémy Scheurer, Loris Petris et David Amherdt, avec la collab. de Nathalie Guillod.

2011. In-8°, X-446 p., 3 ill., br., 978-2-35407-135-6. — 45 €

Offre spéciale, tomes I à VII : 249 € la correspondance complète (au lieu de 309,90 €)

Ce volume contient la correspondance de Jean du Bellay entre son départ pour Rome en juillet 1547 et la fin de l’année 1548. Il compte quelque deux cents lettres et mémoires, dont les trois quarts écrits par le cardinal à une vingtaine de personnes, principalement Henri II, Anne de Montmorency, Charles de Guise et des familiers.
Témoin bien informé, Jean du Bellay est aussi un acteur qui s’implique à l’occasion de manière forte. Sa correspondance ne se limite pas à la relation d’événements : elle exprime des intentions et contient des jugements ainsi que des appréciations. Elle permet de connaître le réseau d’information du cardinal, son influence sur les personnes et les événements, ainsi que ses relations de collaboration et de concurrence avec les autres représentants du roi de France à Rome.
Rédigées souvent avec une grande liberté, ces lettres révèlent des qualités d’écriture qui font de Jean du Bellay, homme paradoxalement autoritaire et sensible, un véritable écrivain de la Renaissance, pétri de culture classique, de curiosité intellectuelle et de goût artistique.

La publication est complétée en ligne par une banque de données répertoriant l’ensemble de la correspondance jusqu’à ce tome (www.unine.ch/jeandubellay).

541. Annuaire-Bulletin 2009. > sommaire

2012. In-8°, [XII]-192 p. 978-2-35407-134-9 (issn 0399-1350). — 35 €

540. Albert de MUN – Hubert LYAUTEY : Correspondance (1891-1914). Publiée par Philippe Levillain et Gilles Ferragu.

2011. In-8°, XXXIV-279 p., br. 978-2-35407-133-2. — 60 €

Quatorze ans séparaient Albert de Mun et Hubert Lyautey : c’est peu et c’est beaucoup, puisque l’un avait trente ans en 1870 tandis que l’autre en avait quinze, et que la guerre de 1870 et la Commune ont creusé un véritable fossé entre les générations. L’amitié entre les deux hommes s’était amorcée en 1874-1875, durant la dernière année de Lyautey à Saint-Cyr. En 1878, le champion du catholicisme intransigeant, homme du Ralliement, retrouva le futur maréchal à l’occasion d’une conférence au sein de la célèbre Œuvre des cercles catholiques ouvriers. Le bouillant militaire fut alors séduit par l’affirmation catholique ultramontaine de son ainé ; mais il était en réalité un libéral.
La correspondance ici proposée, « en partie double », provient des archives des familles de Vogüé et Lyautey ; elle est entièrement inédite. Elle commence tard, à la veille du Ralliement de 1892, et se termine le jour de la mort d’Albert de Mun (6 octobre 1914). C’est l’accomplissement d’échanges sincères entre deux hommes dont l’un est le tribun de la droite légitimiste et conservatrice, et l’autre le paladin de la France coloniale au Maroc. On y trouvera une profusion d’informations sur la politique marocaine de Lyautey et sur la réception de son action à la Chambre des députés, dont Albert de Mun témoigne en retour. Quant à l’élection de Lyautey à l’Académie française, objet d’échanges nourris, c’est un chef-d’œuvre de stratégie électorale sous la coupole.

539. Les lettres de pardon du voyage de Charles IX (1565-1566). Publiées par Michel Nassiet.

2010. In-8°, [XLVII]-718 p., br. 978-2-35407-132-5. — 80 €

Cet ouvrage est la première publication intégrale de lettres de pardon tirées des registres de la chancellerie de France, conservés au Trésor des chartes (Archives nationales). Les récits de crimes qui en forment la trame rapportent autant de situations, de rencontres et de dialogues très divers, décrits par les intéressés avec une précision souvent extrême. L’identification des protagonistes et la découverte de sources complémentaires permettent parfois d’approfondir encore la compréhension des conflits et de leurs enjeux.
Depuis un quart de siècle, plusieurs grands livres, en les exploitant en série, ont montré quelles richesses de pareils documents offraient, au-delà de cas singuliers, à l’histoire sociale, institutionnelle ou politique.
Bien que la rémission de faits criminels par le roi soit restée une pratique incessante, les lettres de 1565 et 1566 sont presque les dernières à avoir fait l’objet d’un enregistrement systématique, puisque la série s’interrompt deux ans plus tard. Octroyées au cours du grand voyage de Charles IX, elles présentent un double intérêt : par les lieux concernés, elles couvrent presque toute l’étendue du royaume ; en raison de leur date, elles éclairent la première guerre de Religion et, plus généralement, la politique de pacification dans laquelle s’inscrit alors, trente-trois ans avant l’édit de Nantes, l’exercice direct par le roi de sa justice « retenue ».

538. Défendre ses droits, construire sa mémoire: les chartriers seigneuriaux (XIIIe-XXIe siècle). Actes du colloque international de Thouars. Réunis par Philippe Contamine et Laurent Vissière.

2010. In-8°, 396 p., br. 978-2-35407-131-8. — 50 €

Du 8 au 10 juin 2006 s’est tenu à Thouars un colloque international consacré aux chartriers seigneuriaux. Le choix de l’endroit s’imposait, car le chartrier des La Trémoille, conservé pendant des siècles au château de Thouars avant d’être déposé aux Archives nationales, demeure aujourd’hui le plus vaste fonds français d’archives privées pour la période médiévale et moderne. Cet ensemble de documents, produits et collectés entre le XIIIe et le début du XXe siècle, offre l’exemple même des archives que les familles aristocratiques, dans toute l’Europe, ont constituées au cours de leur histoire.
Au-delà du « parcours exemplaire » du chartrier de Thouars, interrogé ici sous divers angles, le panorama a donc été étendu du Nord au Midi, de la France à l’Italie, à l’Espagne, à l’Angleterre et à l’Empire, et du Moyen Age jusqu’à l’époque contemporaine.
La nature et la fonction de ces vieux papiers et parchemins ont en effet évolué à travers les siècles, avec le rang et le rôle de leurs détenteurs dans la société : chartes et privilèges présentaient à l’origine une valeur économique et judiciaire, ils ont servi ensuite à prouver la noblesse et en dernier lieu, particulièrement en France après la Révolution, à reconstruire puis entretenir une mémoire nobiliaire. « Défendre ses droits, construire sa mémoire », tels sont les enjeux relevés, entre perspectives d’ensemble et études de cas, au fil de cette vingtaine de communications.

537. Annuaire-Bulletin 2008. > sommaire

2010. In-8°, [X]-171 p., br. 978-2-35407-120-2 (issn 0399-1350). — 35 €

536. Annuaire-Bulletin 2007. > sommaire

2009. In-8°, [X]-[199] p., br. 978-2-35407-118-9 (issn 0399-1350). — 35 €

535. PHILIPPE DE MÉZIÈRES, Une epistre lamentable et consolatoire, adressée en 1397 à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, sur la défaite de Nicopolis (1396). Publiée par Philippe Contamine et Jacques Paviot, avec la collab. de Céline Van Hoorebeeck.

2008. In-8°, 268 p., 2 ill. coul, br. 978-2-35407-116-5. — 46 € — Prospectus

Philippe de Mézières (1325/1326-1405) mena une vie aventureuse : il fut homme de guerre en Italie, contre les Turcs, puis en France, pèlerin en Terre sainte, chancelier du roi Pierre Ier de Chypre, avant de s’installer à Venise. Il servit ensuite Charles V de France comme conseiller et comme précepteur du futur Charles VI. Après 1380, enfin, il se retira au couvent des Célestins de Paris : devenu le « Vieil Solitaire », il y écrivit son grand œuvre, Le Songe du Vieil Pèlerin.
Alors qu’il se recueillait au Saint-Sépulcre, sans doute en 1347, Philippe eut une révélation : le projet d’un nouvel ordre de chevalerie, celui de la Passion de Jésus-Christ, voué à libérer les Lieux saints. Il en rédigea plusieurs fois la règle et l’adressa aux souverains et à la noblesse de France et d’Angleterre afin d’obtenir leur soutien.
Après le désastre de Nicopolis, il reprit la plume pour s’adresser à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, ainsi qu’au roi de France et leur présenter une dernière fois sa « médecine » pour la chrétienté : l’ordre de la Passion. L’Epistre lamentable et consolatoire, récapitulant les plaidoyers de toute une vie, apparaît comme le véritable testament de Philippe de Mézières.

534. Annuaire-Bulletin 2006. > sommaire

2008. In-8°, [X]-135 p., br. 978-2-35407-115-8 (issn 0399-1350). — 25 €

533. Correspondance du cardinal Jean DU BELLAY. Tome III : 1537-1547. Index du règne de François Ier. Publiée par Rémy Scheurer et Loris Petris.

2008. In-8°, XI-588 p., 4 ill., br. 978-2-35407-111-0. — 60 € — Prospectus

Offre spéciale, tomes I à VII : 249 € la correspondance complète (au lieu de 309,90 €)

La correspondance active et passive du cardinal Jean du Bellay (1498-1560) constitue une documentation historique de premier ordre sur les affaires françaises et européennes de son temps, grâce au rôle qu'il joua sous François Ier et Henri II, dans le royaume, à Londres et à Rome, comme par le nombre et la diversité des lettres conservées.
L’édition entreprise en 1905 par V.-L. Bourrilly et P. de Vaissière, a été continuée par R. Scheurer en 1969 et 1973. La poursuite longtemps espérée est désormais assurée sous la direction conjointe de R. Scheurer et L. Petris, et grâce au soutien du Fonds national suisse de la recherche scientifique.
Le tome III clôt le règne de François Ier avec 315 missives supplémentaires. S’y ajoutent de nouvelles lettres pour 1527-1536 (notamment un original de Rabelais), et diverses annexes : textes apocryphes ou suspects, liste des ouvrages dédiés au cardinal, fac-similés de l’écriture des quatre frères du Bellay, enfin le premier index nominum cumulé des volumes déjà parus (y compris celui de 1905).

La publication est complétée en ligne par une banque de données répertoriant l’ensemble de la correspondance (www.unine.ch/jeandubellay).

532. Politique, guerre et fortification au Grand Siècle. Lettres de LOUVOIS à Louis XIV (1679-1691). Publiées par Nicole Salat et Thierry Sarmant.

2007. In-8°, XXV-320 p., 8 pl., 4 ill., br. 978-2-35407-104-2. Coédition Service historique de la Défense. — 39 € — Prospectus

Comment, dans le secret des appartements de Versailles, travaillaient Louis XIV et ses grands serviteurs ? Comment instructions et informations montaient et descendaient-elles les degrés de la pyramide politique et administrative ? Comment fonctionnait cette « stratégie de cabinet » qui permettait au monarque de diriger depuis l’Ile-de-France des opérations de guerre à l’échelle de l’Europe ? La publication intégrale des lettres et mémoires adressés au roi par le marquis de Louvois entre 1679 et 1691 éclaire les méthodes et les pratiques du gouvernement louis-quatorzien. Ces écrits appartiennent à une catégorie de documents rarement présente dans les archives, car beaucoup n’ont pas survécu au règne du Roi-Soleil. Un portrait en creux du souverain transparaît aussi dans la correspondance qu'il reçoit de Louvois : le portrait d’un roi bureaucrate, comme son ministre, lecteur ou auditeur de longs rapports circonstanciés, d’un roi ingénieur et architecte, d’un passionné de la chose militaire plutôt que d’un général ou d’un entraîneur d’hommes. Un prince bien différent de celui de la propagande officielle, qui célébrait en Louis XIV le rex dux et miles, le « roi capitaine et soldat ».

531. Annuaire-Bulletin 2005. > sommaire

2007. In-8°, [X]-147 p., br. issn 0399-1350. — 22 €

530. Lettres de HENRI III, roi de France. Tome VI : 4 janvier 1583-20 mars 1585. Recueillies par Pierre Champion et Michel François, publiées par Jacqueline Boucher.

2006. In-8°, XX-421 p., br. 2-9525739-1-3. — 80 €

Ce volume couvre une période d’espoir puis de nouvelle montée des périls autour de Henri III : efforts de pacification et de réforme du royaume appuyés par l’assemblée de Saint-Germain, crise avec le roi de Navarre, ouverture de la succession au trône après le décès du duc d’Anjou, enfin approche de la prise d’armes de la Ligue. Plus de mille lettres y sont analysées ou transcrites ; dans certaines, particulièrement longues et informelles, on entend le roi parler comme il l’aurait fait de vive voix à ses conseillers les plus proches, notamment à Villeroy : parfois avec exaltation, parfois avec un profond découragement, et toujours avec une attention scrupuleuse aux multiples aspects, français et européens, de son immense tâche.

529. Annuaire-Bulletin 2004. > sommaire

2006. In-8°, [X]-225 p., br. issn 0399-1350. — 35 €

528. Abregé des croniques de France, par NOËL DE FRIBOIS. Édité par Kathleen Daly avec la collab. de Gillette Labory. Préface de Bernard Guenée.

2006. In-8°, 294 p., 8 pl., br. 2-9525739-0-5. — 48 €

« Toutes foiz que je suis en matiere qui touche les Anglois je ne puis contenir ma plume ! » Noël de Fribois, notaire et secrétaire de Charles VII, et son Abregé des croniques sont connus surtout pour les attaques polémiques qu’on y trouve contre l’ « ancien ennemy » de la France. Mais le texte est d’un intérêt bien plus large pour comprendre le milieu professionnel et culturel des officiers royaux à la fin de la guerre de Cent Ans. La présente édition est établie d’après la quatrième version du texte, la plus complète, offerte à Charles VII en 1459. S’y ajoutent des extraits du Mirouer historial abregié de France (v. 1451), également composé pour le roi et attribué au même auteur. L’introduction nourrie, ainsi que la préface de Bernard Guenée, analysent la figure de Noël de Fribois comme historien, officier et polémiste. Cette édition intéressera tous les historiens de la culture, de l’historiographie, de la politique, de l’administration et des mentalités en France à la fin du Moyen Âge.

527. Annuaire-Bulletin 2003. > sommaire

2005. In-8°, [X]-138 p., br. 2-7453-1107-7. — 20 €

526. Annuaire-Bulletin 2002. > sommaire

2004. In-8°, [X]-132 p., br. 2-7453-1107-7. — 20 €

525. Annuaire-Bulletin 2001. > sommaire

2003. In-8°, [X]-132 p., br. 2-7453-0642-1. — 20 €

524. Mémoires de Guillaume TRONSON sur les troubles de Paris au commencement de l’année 1649. Publiés d’après le manuscrit autographe par O. et P. M. Ranum.

2003. In-8°, 172 p., br. 2-7453-0826-2. — 30 €

524 bis. Annuaire-Bulletin 2000. > sommaire

2002. In-8°, [X]-64 p., br. 2-7453-0642-1. — 10 €

523. Mémoires (1760-1820) de Jean-Balthazar de BONARDI du MÉNIL, gentilhomme normand. Édités par Claude Hohl. Préface d’André Corvisier.

2001. In-8°, 904 p., br. 2-7453-0549-2. — 120 €

522. Annuaire-Bulletin 1999. > sommaire

2001. In-8°, [X]-136 p., br. 2-7453-0518-2. — 20,60 €

521. Lettres de HENRI III, roi de France. Tome V : 8 avril 1580-31 décembre 1582. Recueillies par Pierre Champion et Michel François, publiées par Jacqueline Boucher avec la collab. de Henri Zuber.

2000. In-8°, XX-380 p., br. 2-7453-0310-4. — 61 €

520. Annuaire-Bulletin 1998. > sommaire

1999. In-8°, [X]-50 p., br. 2-7453-0272-8. — 10,65 €

519. Le Recueil des plus célèbres astrologues, de SIMON DE PHARES. Tome II : Présentation et commentaire, par Jean-Patrice Boudet.

1999. In-8°, 510 p., ill., br. 2-85203-691-6. — 61 €

518. Annuaire-Bulletin 1997. > sommaire

1999. In-8°, [X]-80 p., br. 2-85203-936-2. — 15,25 €

517. P.-B.-J. de LA MONNERAYE, Souvenirs de 1760 à 1791. Édités par Philippe Bonnichon.

1999. In-8°, 507 p., br. 2-7453-0079-2. — 57,95 €

516. Annuaire-Bulletin 1996. > sommaire

1998. In-8°, [X]-140 p., br. 2-85203-904-4. — 19,05 €

515. Le Recueil des plus célèbres astrologues, de SIMON DE PHARES. Tome I : Édition critique, par Jean-Pascal Boudet.

1997. In-8°, 606 p. br. 2-85203-691-6. — 73,20 €

514. Annuaire-Bulletin 1995. > sommaire

1997. In-8°, [X]-83 p., br. 2-252-02843-2. — 16,75 €

513. Annuaire-Bulletin 1994. > sommaire

1996. In-8°, [X]-68 p., br. 2-85203-540-5. — 15,25 €

512. Mémoires et autres inédits de Nicolas GOULAS, gentilhomme ordinaire de la chambre du duc d’Orléans. Publiés d’après des manuscrits autographes par Noémi Hepp.

1995. In-8°, 388 p., br. 2-85203-539-1. — 41,15 €

511. Le Testament politique de RICHELIEU. Édité par Françoise Hildesheimer.

1994. In-8° de 382 p., br. 2-85203-438-7. — 38,10 €

510. Histoire de France, historiens de la France. Actes du colloque international de Reims (1993). Publiés par Yves-Marie Bercé et Philippe Contamine.

1994. In-8°, 345 p., br. 2-85203-407-7. — 45,75 €

509. Annuaire-Bulletin 1993. > sommaire

1994. In-8°, [XXI]-65 p., br. 2-85203-406-9. — 15,25 €

508. Annuaire-Bulletin 1991-1992. > sommaire

1993. In-8°, [X]-212 p., [32] pl. h.-t., br. 2-35407-112-4. — 42,70 €

— Tables des Annuaires-Bulletins, 1911-1990. Établies par Catherine Goldmann.

1992. In-8°, 57 p. — 12,20 €

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II
Catalogue général
par auteurs

Cette liste reprend et complète celle qui a paru dans : 150^e anniversaire de la Société de l’Histoire de France : liste des publications : 1834-1984, Paris, 1984.

[Disponible ]   Volumes disponibles à la commande. Les plus anciens sont souvent en stock en un ou deux exemplaires seulement, donc susceptibles d'être bientôt épuisés. Sont indiqués pour chaque volume le numéro dans la collection et le prix. Le sigle SC désigne la Série contemporaine : d'abord publications de l’ancienne Société d’Histoire contemporaine, puis la Série postérieure à 1789 de la Société de l’Histoire de France, après la fusion des deux sociétés en 1927.

[Gallica]    Titre antérieur à 1935 disponible en ligne dans la bibliothèque numérique Gallica (BNF), généralement en mode image, sans possibilité de recherche dans le texte (Gallica.bnf.fr/).

[Google]    Titre antérieur à 1864 disponible en texte intégral dans la bibliothèque numérique Google Recherche de livres, avec fonction de recherche dans le texte (books.google.fr/). N. B. : la plupart des titres plus récents sont également numérisés, mais consultables seulement par brefs extraits en fonction des mots recherchés. L'indexation et parfois l'identification même des ouvrages laissant à désirer, certains volumes ont pu échapper à ce recensement.

[Archive]   Internet Archive diffuse également de nombreux volumes intégraux empruntés aux numérisations effectuées par Google (sans respecter les mêmes dates limites), ou bien issus de numérisations ad hoc. La mise en ligne est désordonnée et dépourvue de références fiables, et certains volumes sont présents jusqu'à trois ou quatre fois. Les liens ci-dessous offrent donc la seule voie d'accès commode. La qualité des images peut être médiocre, mais l'ergonomie du feuilletage est plus ingénieuse et agréable que celle de Gallica et Google. Les textes sont disponibles en plusieurs formats (y compris des liens qui renvoient vers les PDF de Google).

N.B. Si vous trouvez en ligne des volumes numérisés non encore recensés ici, merci de les signaler au secrétaire de la SHF (voir page Contacts).

AIMÉ DU MONT-CASSIN. Voir Ystoire (L’) de li Normant.

ALBRET (Jehanne d’). Voir Bourbon (Antoine de) et Albret (Jehanne d’).

Annales de Saint-Bertin, éd. F. Grat, J. Vielliard, S. Clémencet et L. Levillain, 1964.

Annales (Les) de Saint-Bertin et de Saint-Vaast, suivies de fragments d’une chronique inédite, éd. C. Dehaisne, 1871.

[Gallica] [Archive]

ARGENSON (marquis d’), Journal et Mémoires, éd. E. J. B. Rathery, 1859-1867, 9 vol.

[Google] [Gallica, t. IX, 1re partie, 2e partie (en mode texte, extrait de Frantext)] [Archive, t. II-IV]

AUBIGNÉ (Agrippa d’), Histoire universelle, éd. A. de Ruble, 1886-1909, 10 vol.

I Parutions récentes (depuis 1991)

II Catalogue général par auteurs

III Publications périodiques (depuis 1834)

I
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